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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 18:27
Abbé Félix
Abbé Félix

Jesus gibt seinen Jüngern eine Ordnung. Diese Ordnung gilt auch für uns, heute und jetzt. Jesu Ordnung ist ein gutes und schönes Programm nicht nur gegen geistigen Hunger sondern auch gegen den materiellen Hunger der Menschen. Die Brotvermehrung lädt uns dazu ein.

Wir sollen in einer Welt teilen, wo viele Arme leben. Sankt Augustin hat geschrieben: irgendein Kornfeld muss uns als ein göttliches Werk erscheinen.

"Der Herr ist Gutmütigkeit in allen seinen Werken", singt der Psalmist. Also, "alle hoffen und du gibst die Nahrung im gelegenen Moment". Wenn wir in unseren Händen Körbe voll mit Brot haben, sollen wir sie den ausgehungerten geben. Gott hat die Güter der Erde ausreichend geschaffen. Dann muss niemand an Hunger sterben wegen unseres Caritasmangels.

Man kann viel zu essen haben, aber die Liebe fehlt. Wir sollen auch die Liebe geben. Liebe ist Brot für das Herz des Menschen. Und auf allen Kontinenten warten die Menschen auf dieses Brot.

Liebe Brüder und Schwestern, ich bitte euch, dem Evangelium zufolge zu leben: Wir sollen Brot für den Körper und die Liebe für das Herz geben.

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 18:24
GSSB
GSSB

La promotion Saint Padre Pio 2011

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 18:18
Abbé Félix
Abbé Félix

Wenn ich von der Existenz des Himmelreichs überzeugt bin, dann bin ich auch herausgefordert und gefragt! Denn dann entscheide ich mich FÜR etwas. Und das muss sich in meinem Leben auch zeigen. Ich muss konsequent sein und darf mir keine Hintertüren offen halten. „Mit dem Himmelreich ist es wie mit einem Schatz, der in einem Acker vergraben war. Ein Mann entdeckte ihn, grub ihn aber wieder ein. Und in seiner Freude verkaufte er alles, was er besaß, und kaufte den Acker.“ Jesus hat seine Jünger gebeten, eine solche Haltung einzunehmen. Die Jünger müssen alles verlassen: Vater, Mutter, Bruder, Familie. Sie setzen alles auf die eine Karte.

„Wer ist mein Vater, wer ist meine Mutter?“ – fragt Jesus die Menschen, um sich selbst zu antworten: Mein Vater, meine Mutter, meine Brüder und Schwestern sind diejenigen, die den Willen meines Vaters tun.

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 18:16
Abbé Félix
Abbé Félix

Wenn ich von der Existenz des Himmelreichs überzeugt bin, dann bin ich auch herausgefordert und gefragt! Denn dann entscheide ich mich FÜR etwas. Und das muss sich in meinem Leben auch zeigen. Ich muss konsequent sein und darf mir keine Hintertüren offen halten. „Mit dem Himmelreich ist es wie mit einem Schatz, der in einem Acker vergraben war. Ein Mann entdeckte ihn, grub ihn aber wieder ein. Und in seiner Freude verkaufte er alles, was er besaß, und kaufte den Acker.“ Jesus hat seine Jünger gebeten, eine solche Haltung einzunehmen. Die Jünger müssen alles verlassen: Vater, Mutter, Bruder, Familie. Sie setzen alles auf die eine Karte.

„Wer ist mein Vater, wer ist meine Mutter?“ – fragt Jesus die Menschen, um sich selbst zu antworten: Mein Vater, meine Mutter, meine Brüder und Schwestern sind diejenigen, die den Willen meines Vaters tun.

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 18:13
Sonntag Predigte
Sonntag Predigte

Gott hat uns dazu fähig geschaffen, seine Rede zu empfangen und uns zu entfalten. Gottes Projekt für uns ist: wir müssen glücklich leben! Aber der Feind, der Teufel widersetzt es sich. Er spannt Fallen, er sät das schlechte Korn, er legt Sand in unsere Nahrung. Er versucht, Gottes Wort in unserem Herzen zu ersticken. Er will uns abhalten, Obst zu produzieren: Obst von Gutmütigkeit, Obst von Liebe, Obst von Gerechtigkeit und Obst von Frieden. Oft gelingt es ihm, uns zu verhindern. Wir sind nicht immer richtig; wir lieben nicht immer; es gibt oft die Teilung zwischen uns.

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 18:07
Barack Obama
Barack Obama

"Je viens donc ici aujourd’hui pour insister sur le fait que nous ne devons jamais tenir pour acquis les progrès qui ont été gagnés ici en Europe et encouragés à travers le monde parce que la lutte des idées continue pour votre génération. C’est ce qui est en jeu en Ukraine aujourd’hui. Les dirigeants de la Russie contestent des vérités qui semblaient couler de source il y a quelques semaines seulement – à savoir qu’au XXIe siècle les frontières de l’Europe ne peuvent pas être retracées par la force, que le droit international compte, que les peuples et les nations peuvent prendre eux-mêmes leurs décisions sur leur avenir".

Président Barack Obama

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21 mai 2014 3 21 /05 /mai /2014 13:10

Dominique avait une pharmacie. Il était si intelligent qu'il ne croyait plus en Dieu ou à quoi que ce soit au-delà de ses biens matériels. Un jour, à la fermeture de sa pharmacie, il voit venir un enfant qui allait acheter des médicaments pour sa Maman mourante...

Très nerveux, mais après l'insistance de l'enfant, il décida de re-ouvrir la pharmacie pour servir le médicament. Son insensibilité à l'égard de ce moment était telle qu'il a fini par prendre le mauvais médicament, dans l'obscurité et l'a remis à l'enfant, qui l'a remercié et couru.

Quelques minutes plus tard, il réalisa qu'il avait donné le mauvais médicament. Et si la mère l'avait pris, ce serait la mort instantanée. Il essaya désespérément d'atteindre l'enfant mais en vain.

Il a crié dans le désespoir et le temps passait et rien ne s'est passé, sans le savoir et se mit à genoux vers le bas et le remord commença à l’envahir et pendant qu’il pleura il se dit s'il y avait vraiment un Dieu qu’Il ne me laisse pas devenir un assassin, le temps passait et il pensait à genoux, que la femme était déjà morte et il aurait certainement à payer pour cela. Soudain, il sentit une main lui touché l'épaule gauche et il se tourna et c’était l'enfant en état de choc, les pleurs et le Regard de l' enfant lui ont traversés l'âme. Puis, il lui demanda ce qui s'était passé.

"Ce qui s'était passé ! répondit l'enfant, s'il vous plaît ne me grondez pas, c'est que je suis tombé et la bouteille de médicament s'est cassée, cela est-il possible monsieur de me donner un autre ? "

 

Source : fait divers pris sur internet

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 13:00

LE TRAVAIL DANS L'ENSEIGNEMENT DU MAGISTERE

 

C’est à l’occasion du 90ème anniversaire de Rerum Novarum du Pape Léon XIII que Jean Paul II a écrit Laborem Exercens (1981) qui constitue une approche originale des problèmes sociaux de la société moderne. Le constat du Pape est le suivant : « le travail est l'un de ces aspects, un aspect permanent et fondamental, toujours actuel et exigeant constamment une attention renouvelée et un témoignage décidé. De nouvelles interrogations, de nouveaux problèmes se posent sans cesse, et ils font naître toujours de nouvelles espérances, mais aussi des craintes et des menaces liées à cette dimension fondamentale de l'existence humaine, par laquelle la vie de l'homme est construite chaque jour, ou elle puise sa propre dignité spécifique […] »[1].

Jean Paul II fait du travail la clé de la question sociale. Il établit une distinction entre l’aspect objectif du travail c'est-à-dire sa réalisation, et son aspect subjectif lié au travailleur lui-même, avec sa dignité, sa responsabilité, ses droits. Dans la phase actuelle de l’histoire où existe un conflit entre le travail et le capital, le Pape rappelle le principe de la priorité du travail sur le capital. Pour lui « le travail est toujours une cause efficiente première, tandis que le "capital", comme ensemble des moyens de production, demeure seulement un instrument ou la cause instrumentale »[2]. L’implication de cette position du Pape est que l’homme ne doit pas être aliéné dans et par le travail.

Aussi, le travail peut être considéré comme la source des droits du travailleur lui-même. C’est du reste la position du Pape pour qui les droits des travailleurs doivent être vus dans le vaste contexte des droits de l’homme qui naissent du travail. Le travail en tant qu’ordre du Créateur s’impose comme un devoir et un droit pour l’homme.

Parmi tous ces droits, le droit fondamental est d’abord et avant tout le droit au travail ou plus simplement le droit de « trouver un emploi adapté à tous les sujets qui en sont capables » (LE, 18). Il est important de permettre que tous aient un emploi. Mais ce souhait combien noble n’est pas toujours atteint. Alors dans ces conditions, l’obligation revient aux politiques d’œuvrer pour que les chômeurs puissent assurer leur subsistance quotidienne à travers des mesures appropriées.

L’Ecriture, la Tradition et le Magistère nous ont livré un enseignement sur la question du travail autrement, sur l’emploi et nous ont fait voir que le travail constitue pour l’homme un moyen pour assurer sa survie, pour assumer sa dignité et pour servir la société et le prochain. Et cet enseignement vient soutenir notre réflexion dont l’objectif est de poser l’emploi comme un service. Dans le même sillage de l’enseignement officiel qui précède, nous esquisserons à présent une théologie de l’emploi.



[1]Laborem Exercens, 1

[2]Ibid., 12.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 13:00

LE TRAVAIL DANS L'ENSEIGNEMENT DU MAGISTERE

 

L’enseignement social de l’Eglise sur le travail jusqu’au Concile Vatican II était axé sur la défense de la misère ouvrière dans l’Europe industrialisée. Mais au Concile Vatican II la réflexion a pris une autre orientation pour s’intéresser davantage au problème moral posé par les conditions de travail avec l’avènement de la révolution industrielle. C’est dans la constitution pastorale Gaudium et Spes, dans le troisième chapitre que se trouve développée cette question du travail. Dès l’ouverture de la première partie du chapitre le concile affirme : « Par son travail et son génie, l'homme s'est toujours efforcé de donner un plus large développement à sa vie »[1]. Il est clair que c’est le travail qui permet à l’homme de s’assumer  en donnant une orientation à sa vie et de répondre à la bénédiction divine. Dans la deuxième partie du même chapitre, les Pères conciliaires ont abordé le sens et la valeur de l’activité humaine. Et la réponse peut se résumer en ceci : l’activité humaine correspond au dessein de Dieu (cf. GS 34) et elle est aussi ordonnée au bien, à la perfection de l’homme (cf. GS 35). Le Concile parvient ainsi à donner une nette orientation de l’activité humaine : « voici donc la règle de l'activité humaine : qu'elle soit conforme au bien authentique de l'humanité, selon le dessein et la volonté de Dieu, et qu'elle permette à l'homme, considéré comme individu ou comme membre de la société, de s'épanouir selon la plénitude de sa vocation »[2].

C’est pourquoi outre son  caractère personnel et instrumental pour l’homme, le travail possède une valeur propre d’où l’homme peut aussi tirer sa propre valeur. En effet, « le Deuxième Concile du Vatican a affirmé la priorité du travail sur tous les autres facteurs de la vie économique, qui ne sont que d’une nature instrumentale. Le travail est l’émanation immédiate de la personne humaine, la participation à l’activité créatrice de Dieu, à la communauté avec Jésus travailleur. « De là découlent pour tout homme le devoir de travailler loyalement aussi bien que le droit au travail »[3].

De ce point de vue donc, l’Eglise, les pouvoirs civils ainsi que tous les hommes de bonne volonté doivent œuvrer ensemble et faire en sorte que tous les hommes aient des conditions de travail qui respectent leur dignité ; ainsi, en s’efforçant d’améliorer leur sort, ils agiront avec un esprit de solidarité et de service[4].

Cependant, de nos jours, la seule chose qui semble importer dans le travail est le gain parce que justement ce gain permet d’acquérir non seulement des biens de nécessité mais aussi des biens de convenance et même des biens superflus. La soif du gain parvient à influencer grandement le choix de l’emploi car, il est difficile que quelqu’un maintienne ou choisisse un travail humanisant qui rapporte peu, quand il peut obtenir une plus grande rémunération avec un travail aliénant. Dans le sillage de Vatican II et fidèle à ses prédécesseurs, le Pape Jean Paul II se préoccupera de façon particulière au problème du travail en lui consacrant une encyclique.



[1]Gaudium et Spes, 33.

[2] Ibid., 35.

[3] Friedhelm HENGSBACH, Le droit au travail dans la pensée de l’Eglise, in Concilium 180 (1982) 72.

[4] Cf. Prière du Temps Présent, Cerf, Paris 1980, 1016.

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 12:58

LE TRAVAIL DANS L'ENSEIGNEMENT DU MAGISTERE

 

Logstrup disait que « la solidarité humaine fait partir des principes fondamentaux de l’éthique sociale chrétienne »[1]. Ce principe de solidarité tire son fondement d’une double découverte : les hommes sont liés entre eux en vertu de leur égale dignité et ils doivent s’unir pour venir à bout de leurs problèmes[2]. Dans le vaste domaine des droits de l’homme, le droit au travail y figure en tant que moyen permettant à l’homme de pouvoir mener une activité qui lui permet de subsister. La tendance dans ces conditions est de vouloir s’occuper de soi-même sans souci de l’autre, le prochain. C’est cette tendance qui nous pousse à parler de droit au travail et de la solidarité dans le travail. Le problème de l’emploi au Burkina Faso est réel et le premier chapitre nous l’a démontré. Il demeure un mythe pour beaucoup d’hommes et de femmes. Parler de solidarité dans ce cas, c’est inviter les catholiques à avoir un nouveau comportement qui les pousse à sortir d’eux-mêmes pour aussi s’intéresser aux autres. Vivant les mêmes problèmes au sein de la même société, ils doivent chercher ensemble les solutions possibles à ces problèmes. Pour nous ces solutions ne trouvent leur fondement que dans la solidarité entre tous.

En effet, « la priorité du droit des défavorisés à la solidarité a pour effet, dans la dimension du travail et du chômage, que la priorité appartient aux besoins des hommes qui sont les plus défavorisés par la situation du marché »[3]. La solidarité conjuguée au présent par l’employé catholique c'est sa générosité à réduire ses heures de travail pour qu’un ami ne perde pas son emploi. C’est aussi sa gentillesse à accueillir le chômeur quand son usine est fermée ou quand sa société a été privatisée et qu’il se retrouve du même coup victime d’une compression du personnel. Ce sont ces bonnes actions qui peuvent aider les victimes du chômage à traverser les heures les plus sombres de l’existence humaine.

La solidarité dans le travail en tant qu’amour du prochain exige aussi une autolimitation. Convaincus que la promotion professionnelle confère au travailleur une identité propre, beaucoup d’employés se livrent à une concurrence farouche sans pitié tout en oubliant que cette dure concurrence ne constitue pas le dernier critère de la qualité de la vie. Dans ces conditions, il faut reconnaître que le travail peut détruire l’identité qu’on recherche en l’accomplissant quand il est pratiqué aux dépens de la solidarité humaine. Plus progresse l’humanisation des emplois, moins l’individu doit lutter pour des emplois toujours meilleurs en y engageant toutes ses forces. Ici intervient un problème moral lié au travail et au sujet du travail, c'est-à-dire l’homme.



[1] DietmarMieth, « Solidarité et droit au travail», in Concilium 180 (1982)  97.

[2] Cf. Logstrup, Solidarität und liebe (Solidarité et charité), in Christlicher Glaube in moderner Gesellschaft, Fribourg 1982, 97.

[3]Ibid., 100.

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